Les Chênes qu’on abat…
Le pari était risqué.
Mais il fut remporté d’un avis unanime.
L’adaptation des Chênes qu’on abat au théâtre pouvait apparaître en effet comme une gageure.
C’est pourtant, sous le titre le crépuscule, ce qui fut présenté à l’Hôtel de Ville de Paris 8ème, à l’invitation de Jacques Godfrain, ancien ministre, Président de la Fondation Charles de Gaulle et de la Maire du 8ème, Jeanne d’Hauteserre, sous le patronage d’Alain Malraux, Président d’Honneur de la Commission Malraux pour l’Europe de la Culture.
La mise en scène de Lionel Courtot, l’interprétation de John Arnold et Philippe Girard, permit en effet de donner vie à un texte emblématique.
A noter également que la pièce fut donnée en ouverture de la Foire du Livre de Brive, où elle remporta un vif succès, La Montagne écrivant qu’il s’agissait d’une adaptation époustouflante, dans un duo d’exception entre Malraux et de Gaulle.